proposé par martingrall
Et sur le point de croissance ? Qu’est-ce aequo ? Nous arrivons vite au point Godwin, plus rien à dire, discussion inutile, fin de non recevoir. Ben c’est que le monde du wold entier en veut à mort aux français.
Partout dans chaque recoin de nos poches recousues plusieurs fois, on ne peut que constater la hausse des prix et la croissance anémié de nos bourses.
Cependant se sont-elles qui domineront le sommet du G8. Cependant, deux fois, le monde économique du détail change, passant sans vague et sans surprise du Prix imposé à la valeur estimée.
Et au Japon entre le 7 et le 9 juillet de notre ère, passant de l’errance à la piste d’envol, les chefs d'État et de gouvernement des principaux pays industriels du monde centreront leurs entretiens sur un ensemble de problèmes économiques imbriqués qui menacent d'affaiblir des économies déjà ébranlées par la crise des marchés financiers.
Et les japonais toujours pince sans rire lorsqu’ils veulent faire toucher du doigt l’inaccessible montagne, (leurs excédents commerciaux) n’y sont pas allé avec le plat du tanga. C’est dans le marécage de Toyako dans l’île d’Hokkaïdo, méticuleusement arrangé en cité lacustre qu’ils accueilleront les dirigeants du groupe des Huit (G8) - l'Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, l'Italie, le Japon, la Russie et le Royaume-Uni. À l'ordre du jour de ce sommet figurent de nombreux dossiers, allant des changements climatiques à la lutte contre la prolifération des armes de destruction massive.
Bien sur G 8 oblige, ce sommet sera dominé par le Fuji tout proche, ego centré sur l'envolée des prix des produits alimentaires et énergétiques et par les pressions inflationnistes dans d'autres secteurs encore plus préoccupants.
Selon les vrais économistes, ni Elie Cohen, n’y Jacques Attali n’y sont conviés, la situation financière précaire des ménages dans tous les pays industriels développés et en consolidation, ainsi que le resserrement du crédit accordé aux entreprises pourraient ralentir encore davantage les économies développée, précipitant les pays aux endettements massifs en dépression, Il sera difficile, dans ces circonstances, d'équilibrer les mesures de promotion de la croissance et celles visant à lutter contre l'inflation. Et surtout, de décider qui pourra accroitre ses richesses et qui sera le dindon de la farce.
La morosité des populations face à la situation économique et les difficultés politiques internes que connaissent certains pays industriels font que la plus grande partie des chefs d'État et de gouvernement rompront sans doute avec la tradition des sommets, consistant à « entériner les conclusions de leurs ministres des finances », et tenteront d’organiser une agence de contrôle des la spéculation sur les produits énergétiques et alimentaires.
L’optionnel mensonge ordinaire des français.
Il est vraisemblable que le communiqué final du sommet « s'accrochera à quelques bonnes nouvelles économiques » telles que la remontée relative des marchés financiers qui donnerait à croire que la crise est une illusion, que la pente est droite et horizontale, avec quelques faux plats permettant le roue libre.
Mais la crise de l'immobilier aux États-Unis est loin d'être réglée, les marchés des capitaux sont inquiets et la hausse des prix alimentaires et énergétiques incite plutôt au pessimisme en ce qui concerne l'inflation. Aucun de ces problèmes n'a de solution facile, et l’absence et l’incompétence effrayante et remarquée, ne fait qu’aggraver l’inquiétude des pays exportateurs vers les pays en développement. C'est ainsi que, dans le domaine de l'énergie, les ministres des finances du G8 sont d'avis que la « réduction des subventions » accordées par certains pays à ce secteur pourrait atténuer la pression inflationniste qui s'exerce sur le cours du pétrole. La question est cependant de savoir si le G7 (le G8 moins la Russie) possède l'influence nécessaire pour encourager d'autres pays à engager des réformes en ce sens.
Certes, la Chine a récemment réduit ses subventions sur les carburants, suivie en cela par l'Inde, Taïwan, la Malaisie et l'Indonésie, les pouvoirs publics de ces pays ayant compris qu'il leur serait difficile de continuer à subventionner l'énergie. Mais tout pays qui coupe ses aides dans ce secteur risque de s'exposer à une opposition politique, à de l'agitation sociale et à une relance de l'inflation.
Sarkozy est très retissant à décourager les spéculations sur les matières premières.
Le ministre de l’économie Japonais est toujours effaré de voir Nicolas Sarkozy compter en Rolex vantage. Comme les français compte leur smic en kg de pomme de terre.
Cela n’empêche pas la discussion au sein du G7, G8 moins la France, sur ce qui constituerait un cadre judicieux d'investissement dans le développement des ressources énergétiques enverrait un signal très significatif aux marchés énergétiques et aux pays qui doivent faire face à ce problème. Il s'agit notamment de décourager la spéculation sur les cours, de réduire les subventions et d'augmenter la production pétrolière. Dans ce dernier domaine, si les États-Unis décidaient d'envisager sérieusement d'élargir leur champ de prospection pétrolière, notamment dans leurs eaux territoriales et dans des régions protégées telles que le nord de l'Alaska, cela aurait sans doute un effet salutaire sur les prix énergétiques.
Et sur le point de croissance ? Qu’est-ce aequo ? Nous arrivons vite au point Godwin, plus rien à dire, discussion inutile, fin de non recevoir. Ben c’est que le monde du wold entier en veut à mort aux français.
Partout dans chaque recoin de nos poches recousues plusieurs fois, on ne peut que constater la hausse des prix et la croissance anémié de nos bourses.
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Cependant se sont-elles qui domineront le sommet du G8. Cependant, deux fois, le monde économique du détail change, passant sans vague et sans surprise du Prix imposé à la valeur estimée.
Et au Japon entre le 7 et le 9 juillet de notre ère, passant de l’errance à la piste d’envol, les chefs d'État et de gouvernement des principaux pays industriels du monde centreront leurs entretiens sur un ensemble de problèmes économiques imbriqués qui menacent d'affaiblir des économies déjà ébranlées par la crise des marchés financiers.
Et les japonais toujours pince sans rire lorsqu’ils veulent faire toucher du doigt l’inaccessible montagne, (leurs excédents commerciaux) n’y sont pas allé avec le plat du tanga. C’est dans le marécage de Toyako dans l’île d’Hokkaïdo, méticuleusement arrangé en cité lacustre qu’ils accueilleront les dirigeants du groupe des Huit (G8) - l'Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, l'Italie, le Japon, la Russie et le Royaume-Uni. À l'ordre du jour de ce sommet figurent de nombreux dossiers, allant des changements climatiques à la lutte contre la prolifération des armes de destruction massive.
Bien sur G 8 oblige, ce sommet sera dominé par le Fuji tout proche, ego centré sur l'envolée des prix des produits alimentaires et énergétiques et par les pressions inflationnistes dans d'autres secteurs encore plus préoccupants.
Selon les vrais économistes, ni Elie Cohen, n’y Jacques Attali n’y sont conviés, la situation financière précaire des ménages dans tous les pays industriels développés et en consolidation, ainsi que le resserrement du crédit accordé aux entreprises pourraient ralentir encore davantage les économies développée, précipitant les pays aux endettements massifs en dépression, Il sera difficile, dans ces circonstances, d'équilibrer les mesures de promotion de la croissance et celles visant à lutter contre l'inflation. Et surtout, de décider qui pourra accroitre ses richesses et qui sera le dindon de la farce.
La morosité des populations face à la situation économique et les difficultés politiques internes que connaissent certains pays industriels font que la plus grande partie des chefs d'État et de gouvernement rompront sans doute avec la tradition des sommets, consistant à « entériner les conclusions de leurs ministres des finances », et tenteront d’organiser une agence de contrôle des la spéculation sur les produits énergétiques et alimentaires.
L’optionnel mensonge ordinaire des français.
Il est vraisemblable que le communiqué final du sommet « s'accrochera à quelques bonnes nouvelles économiques » telles que la remontée relative des marchés financiers qui donnerait à croire que la crise est une illusion, que la pente est droite et horizontale, avec quelques faux plats permettant le roue libre.
Mais la crise de l'immobilier aux États-Unis est loin d'être réglée, les marchés des capitaux sont inquiets et la hausse des prix alimentaires et énergétiques incite plutôt au pessimisme en ce qui concerne l'inflation. Aucun de ces problèmes n'a de solution facile, et l’absence et l’incompétence effrayante et remarquée, ne fait qu’aggraver l’inquiétude des pays exportateurs vers les pays en développement. C'est ainsi que, dans le domaine de l'énergie, les ministres des finances du G8 sont d'avis que la « réduction des subventions » accordées par certains pays à ce secteur pourrait atténuer la pression inflationniste qui s'exerce sur le cours du pétrole. La question est cependant de savoir si le G7 (le G8 moins la Russie) possède l'influence nécessaire pour encourager d'autres pays à engager des réformes en ce sens.
Certes, la Chine a récemment réduit ses subventions sur les carburants, suivie en cela par l'Inde, Taïwan, la Malaisie et l'Indonésie, les pouvoirs publics de ces pays ayant compris qu'il leur serait difficile de continuer à subventionner l'énergie. Mais tout pays qui coupe ses aides dans ce secteur risque de s'exposer à une opposition politique, à de l'agitation sociale et à une relance de l'inflation.
Sarkozy est très retissant à décourager les spéculations sur les matières premières.
Le ministre de l’économie Japonais est toujours effaré de voir Nicolas Sarkozy compter en Rolex vantage. Comme les français compte leur smic en kg de pomme de terre.
Cela n’empêche pas la discussion au sein du G7, G8 moins la France, sur ce qui constituerait un cadre judicieux d'investissement dans le développement des ressources énergétiques enverrait un signal très significatif aux marchés énergétiques et aux pays qui doivent faire face à ce problème. Il s'agit notamment de décourager la spéculation sur les cours, de réduire les subventions et d'augmenter la production pétrolière. Dans ce dernier domaine, si les États-Unis décidaient d'envisager sérieusement d'élargir leur champ de prospection pétrolière, notamment dans leurs eaux territoriales et dans des régions protégées telles que le nord de l'Alaska, cela aurait sans doute un effet salutaire sur les prix énergétiques.