Proposé par martingrall.
Tout de suite afin d’apaiser les benêts d’armes, not p’tit Nicolas n’est pas responsable de tout ce qui cloche en France ! Non j’dis ça parce qu’une cloche ça fait GLONG plus ou moins fort, Glong. C’est le carillon qui fait bling bling.
C’est que depuis quarante ans ils s’y sont mis à plusieurs dans sa fonte, rouge et blanche coulée dans le sable matricé. Dieu, le roi, l’église, le marchant, tous y ont mis leur patte. Et nous compatissons. Il est difficile et risqué d’ôter la gangue, comme on brise la croute pour retrouver la mie. Femme républicaine au bonnet phrygien.
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Et le mot est dit. Phryge, insigne de la liberté des peuples, du début du monde à celui qui nous devance.
Chacun sait, sauf sans doute les sarkozystes, s’il lui en reste, que la bonne coulée se fait sans pression, c’est là qu’elle chante sa couleur d’unisson. Rouge sur deux yeux émerveillés.
Donc, pour trouver la bonne note, pas seulement celle de l’école et de son carnet, mais plutôt la note juste, d'union général(e), je pensais raccord, il faut la mettre au diapason.
Et c’est encore Barack Obama, il en devient agaçant, qui donne le LA. En limitant le champ d’action des groupes de pression.
Et toujours sans ajout ni rature
Le président Barack Obama a mis en place certaines des limites les plus strictes à l'action des groupes de pression de l'histoire des États-Unis, mais il faudra attendre de voir si ces limites ont réellement des effets, a déclaré un spécialiste de ce domaine, M. Fred Wertheimer.
Lors de la conférence de presse organisée le 17 février au Centre d'accueil de la presse étrangère du département d'État, M. Wertheimer, qui est à la tête de l'organisme Democracy 21, a parlé du rôle des groupes de pression au sein du gouvernement des États-Unis. Son organisme cherche à mettre fin à l'influence excessive de ces groupes dans la vie politique du pays.
L'un des premiers actes du président Obama depuis son entrée en fonction a été de promulguer un décret limitant strictement l'influence que les groupes de pression peuvent exercer sur le pouvoir exécutif, a-t-il dit.
Ce décret interdit aux ministres et autres hauts responsables nommés par le président d'accepter des présents de groupes de pression et de travailler dans des domaines où ils ont défendu des intérêts particuliers lorsqu'ils étaient dans le secteur privé. C'est aussi la première fois qu'un président interdit aux ministres et autres responsables faisant partie de son gouvernement d'accepter par la suite un emploi dans un groupe de pression tant que lui-même sera en exercice.
Selon M. Wertheimer, ces restrictions constituent un grand premier pas qui signale la volonté du président Obama d'empêcher l'influence excessive des groupes de pression sur son gouvernement. Non seulement ces restrictions sont exceptionnelles dans l'histoire des États-Unis, mais aussi aucun autre pays n'a adopté de telles mesures.
Lorsqu'il était sénateur, puis candidat à la présidence, M. Obama a manifesté son intérêt pour la limitation du rôle des groupes de pression. Il est connu pour être résolu à s'attaquer à cette question, a dit M. Wertheimer en indiquant qu'il avait fortement contribué à l'adoption, en 2007, de la loi qui limitait strictement les moyens d'influence des groupes de pression sur les parlementaires.
Cette loi contient des règles très strictes qui interdisent aux groupes de pression de prendre en charge les frais de déplacement de parlementaires ainsi que leurs frais de représentation (divertissements et restaurants).
Aux États-Unis, des milliers de personnes font partie de groupes de pression qui représentent une multitude d'intérêts, y compris ceux de pays étrangers. Des États du monde entier font appel à des groupes de pression à Washington pour défendre leurs intérêts.
M. Wertheimer a souligné la différence existant entre l'action d'un groupe de pression et la corruption, qui consiste à soudoyer des agents publics. Depuis longtemps, les États-Unis ont des lois destinées à prévenir la corruption et à la sanctionner, et c'est un phénomène peu fréquent dans le pays.
Les groupes de pression, a-t-il expliqué, existent dans tous les régimes démocratiques, où des personnes ou des groupes disposant de grandes sommes d'argent pour défendre leurs intérêts tentent d'avoir une influence sur les décisions des pouvoirs publics.
« C'est tout à fait naturel, a-t-il dit, que des gens tentent de découvrir les moyens de protéger leurs intérêts (...) Le problème surgit lorsque les règles du jeu permettent aux groupes de pression d'avoir recours à de l'argent et à d'autres avantages financiers pour avoir un grand avantage sur tous les autres de manière à influencer les décisions des pouvoirs publics. »
Tout de suite afin d’apaiser les benêts d’armes, not p’tit Nicolas n’est pas responsable de tout ce qui cloche en France ! Non j’dis ça parce qu’une cloche ça fait GLONG plus ou moins fort, Glong. C’est le carillon qui fait bling bling.
C’est que depuis quarante ans ils s’y sont mis à plusieurs dans sa fonte, rouge et blanche coulée dans le sable matricé. Dieu, le roi, l’église, le marchant, tous y ont mis leur patte. Et nous compatissons. Il est difficile et risqué d’ôter la gangue, comme on brise la croute pour retrouver la mie. Femme républicaine au bonnet phrygien.

Et le mot est dit. Phryge, insigne de la liberté des peuples, du début du monde à celui qui nous devance.
Chacun sait, sauf sans doute les sarkozystes, s’il lui en reste, que la bonne coulée se fait sans pression, c’est là qu’elle chante sa couleur d’unisson. Rouge sur deux yeux émerveillés.
Donc, pour trouver la bonne note, pas seulement celle de l’école et de son carnet, mais plutôt la note juste, d'union général(e), je pensais raccord, il faut la mettre au diapason.
Et c’est encore Barack Obama, il en devient agaçant, qui donne le LA. En limitant le champ d’action des groupes de pression.
Et toujours sans ajout ni rature
Le président Barack Obama a mis en place certaines des limites les plus strictes à l'action des groupes de pression de l'histoire des États-Unis, mais il faudra attendre de voir si ces limites ont réellement des effets, a déclaré un spécialiste de ce domaine, M. Fred Wertheimer.
Lors de la conférence de presse organisée le 17 février au Centre d'accueil de la presse étrangère du département d'État, M. Wertheimer, qui est à la tête de l'organisme Democracy 21, a parlé du rôle des groupes de pression au sein du gouvernement des États-Unis. Son organisme cherche à mettre fin à l'influence excessive de ces groupes dans la vie politique du pays.
L'un des premiers actes du président Obama depuis son entrée en fonction a été de promulguer un décret limitant strictement l'influence que les groupes de pression peuvent exercer sur le pouvoir exécutif, a-t-il dit.
Ce décret interdit aux ministres et autres hauts responsables nommés par le président d'accepter des présents de groupes de pression et de travailler dans des domaines où ils ont défendu des intérêts particuliers lorsqu'ils étaient dans le secteur privé. C'est aussi la première fois qu'un président interdit aux ministres et autres responsables faisant partie de son gouvernement d'accepter par la suite un emploi dans un groupe de pression tant que lui-même sera en exercice.
Selon M. Wertheimer, ces restrictions constituent un grand premier pas qui signale la volonté du président Obama d'empêcher l'influence excessive des groupes de pression sur son gouvernement. Non seulement ces restrictions sont exceptionnelles dans l'histoire des États-Unis, mais aussi aucun autre pays n'a adopté de telles mesures.
Lorsqu'il était sénateur, puis candidat à la présidence, M. Obama a manifesté son intérêt pour la limitation du rôle des groupes de pression. Il est connu pour être résolu à s'attaquer à cette question, a dit M. Wertheimer en indiquant qu'il avait fortement contribué à l'adoption, en 2007, de la loi qui limitait strictement les moyens d'influence des groupes de pression sur les parlementaires.
Cette loi contient des règles très strictes qui interdisent aux groupes de pression de prendre en charge les frais de déplacement de parlementaires ainsi que leurs frais de représentation (divertissements et restaurants).
Aux États-Unis, des milliers de personnes font partie de groupes de pression qui représentent une multitude d'intérêts, y compris ceux de pays étrangers. Des États du monde entier font appel à des groupes de pression à Washington pour défendre leurs intérêts.
M. Wertheimer a souligné la différence existant entre l'action d'un groupe de pression et la corruption, qui consiste à soudoyer des agents publics. Depuis longtemps, les États-Unis ont des lois destinées à prévenir la corruption et à la sanctionner, et c'est un phénomène peu fréquent dans le pays.
Les groupes de pression, a-t-il expliqué, existent dans tous les régimes démocratiques, où des personnes ou des groupes disposant de grandes sommes d'argent pour défendre leurs intérêts tentent d'avoir une influence sur les décisions des pouvoirs publics.
« C'est tout à fait naturel, a-t-il dit, que des gens tentent de découvrir les moyens de protéger leurs intérêts (...) Le problème surgit lorsque les règles du jeu permettent aux groupes de pression d'avoir recours à de l'argent et à d'autres avantages financiers pour avoir un grand avantage sur tous les autres de manière à influencer les décisions des pouvoirs publics. »